Une monnaie locale fonctionne comme un « label éthique », un signe de reconnaissance : en allant chez tel prestataire, les utilisateurs sauront qu’il s’est engagé dans une démarche commune de relocalisation, de responsabilité écologique et de souci éthique.

→ En acceptant une monnaie locale, un prestataire participe à un projet collectif dans lequel ses propres intérêts sont défendus : les circuits courts, les commerces et services de proximité, le soutien à des projets d’activités locales renforçant le lien social.

→ L’intérêt économique n’est pas le plus important. D’abord à cause des volumes  de MLC relativement faibles en proportion du chiffre d’affaires ; mais aussi parce qu’il faudrait un circuit complet de prestataires pour éviter le coût de la reconversion (ce qui n’est pas le cas aujourd’hui).